The Ripper (HALEY)

par **Psychopathe...** Mer 23 Sep - 13:55

Tout est en place, surtout la vengeance...

Hotch n'aurait jamais du manquer son coup. Aussi sur de lui qu'il soit, ses plans ne fonctionnent pas toujours. Voila déjà 6 mois qu'il avait mis "le Ripper" au trou. Pensait il du moins. C'était sans compter la soif et le désir de vengeance de cet homme qualifié de psychopathe post traumatique. Et s'il s'était développé en ses gènes le besoin de tuer, ce n'était que la faute de l'humanité. Quelques années auparavant, 10 pour être précis, lui même avait été victime d'un Ripper. Un sérial killer, dont l'arme était un objet tranchant, une faux, ni plus ni moins. Arrêtant les voitures au bord de la route, il entreprenait de tuer chacun des passager, chacun son tour. Et de prélever sur une de ses victimes un objet personnel, pour le mettre sur la suivante, et ainsi de suite. Seulement une trêve de 10 avait été signé avec un ancien agent de la BAU. Une fois le délais passé, c'était bien la seule victime survivante qui avait prit le relais. Ironie du sort sans doute. Il se sentait invincible. Avoir survécu à une tentative de meurtre, une trentaine de coups de couteau, une arrestation, un séjour en prison pour s'être taillé les veines. Il était libre, dehors, et assoifé de vengeance, un nom résonnait dans sa tête. Son obssession. HOTCHNER...

Il n'était pas difficile de trouver un rapport avec ce nom là, toutes les vidéos s'y rapportant étaient sur Internet. Avec un peu de bonne volontée, il était possible de trouver sa situation maritale. Falscifier les registres n'étaient pas bien compliqué pour un adepte de l'informatique. Quand l'idée de vengeance nous anime, rien n'est impossible.

Son plan était prêt. Le nom d'Haley Hotchner, la femme de l'agent précisément, était donné pour cible. Quand on régissait sa vengeance depuis 10 ans, repérer une personne et prendre la patience d'étudier ses habitudes est un jeu d'enfant. Voila six semaines qu'il la suivait. Cette jeune femme à l'allure quelques peu adolescente sur les bords, de part sa façon de se tenir sans doutes. Il avait pu repérer que le jeudi en fin de matinée, elle passait chez le photographe, tirer ses derniers clichés numériques sans doute. Dans une petite boutique isolée dans une ruelle de Washington D.C. Et aujourd'hui était un grand jour, celui de son enlèvement. Il avait pu repérer que c'était reparti entre les deux amants. Malgré que l'adjectif "Divorcé" figure sur le registre qu'il avait pu consulter de façon officieuse sur Internet.

Une voiture blindée, vitre tintées, attendait en face de la petite rue, depuis ce matin, 8 heures. Personne ne l'avait remarquée. Personne n'y prêtait vraiment attention. Paraitre banal est la clé de la discrétion. Et comme prévu, 11 heures, la jeune femme entra dans la boutique. Personne à l'horizon. 11 h 15, elle ressort. Empruntant cette rue déserte, cagoulé, enveloppé d'un blouson de moto noir, de ranger, un homme arriva derrière pour poser une lame sous sa gorge. Lui murmurant quelque chose à l'oreille. Des menaces sans doutes. Lui ordonnant de se faire discrète. Ce qui ne devait pas être des plus facile. La jetant à l'arrière de la voiture, un autre homme s'occupa de lui attacher les poignets dans le dos. Les chevilles aussi. Bandant ses yeux. Ne pas qu'elle reconnaisse le chemin, ne pas prendre de risque surtout. Une femme d'agent devait connaitre quelques combines. Sans doutes...

Arrivés au niveau du repère du Ripper. Un parc, sous les bois. Seul un cabanon servait de repère. Sans s'en rendre compte elle fut projetée de la voiture, à cette cabane au fond du parc. Une odeur de mousse, d'humidité, et elle touchait le sol froid, en bois, mais les yeux bandés, il lui était impossible de savoir où elle se trouvait, si ce n'est quelques sensations désagréables. Elle n'était pas en sécurité, une chose qui était sure. Les deux hommes de main se firent remercier, avec félicitations pour la discrétion. Puis, avant de partir, un des deux retira le bandeau noir qui obstruait la vue de la jeune femme. Tandis que le Ripper marchait devant elle, de long en large. Les mains dans le dos. Toujours cette combinaison orange, celle de la prison. Comme un clin d'oeil à la situation.

- S'il y a au moins une qualité que je puisse reconnaitre à votre mari est son goût pour les jolies femmes...

par **Haley Hotchner** Mer 23 Sep - 14:59

Journée plutot belle aujourd'hui. J'avai déposé mon fils à l'école à 8 heures 30 puis j'étais rentrée chez moi. Un brin de ménage et 10 heures 30 était arrivé très vite. Tous les jeudi j'allais faire développer les photos que j'avais pris dans la semaine. La photographie était une de mes passion auquel j'essayais de consacrer un maximu de temps. Ma prochiane étape était d'esayer de me faire un studio de développement, une chambre noir dans laquelle je pourrais travailler seule et retoucher les photos à ma guise. La boutique se trouvait dans une ruelle assez éloignée du centre ville. J'aimais cette boutique car elle était tenu par un ancien photgraphe et parfois, quand il avait le temps le propriétaire me donnait quelques conseilles pour améliorer mon travail, par exemple comment arriver a jouer avec la lumière. J'aimais beaucoup l'entendre parler de son ancien métier. Comme tous les jeudi je me rendit à la boutique et donna mes photo au vieil homme qui me les promit pour le lendemain. Je ressortis languissant de les avoir en mains pour pouvoir les montrer à mari. J'avais pris mes fils sous toutes les coutures. Jack trouvait ça drôle, Evan un peu moin, mais il n'avait pas eu choix! Il pouvait faire plaisir a sa mère quand même!

J'emprunta la petite ruelle transversale au magasin pour rejoindre ma voiture qui était un peu plus loin. Tout les jeudi je faisais le même chemin, je prenais cette petite rue , je m'arrêtais à la boulangerie et je repartais chez moi. Je commençais à prendre des habitudes de vieille dame, et ça ne me plaisait pas trop. Mais aujourd'hui rien ne se passa comme prévu. Je n'avais pas vu l'homme qui se trouvait derrière moi dans la ruelle jusqu'a ce que je sente un couteau sous ma gorge. J'étais prête à crier quand mon agresseur me précisa que si je criais il irait chercher mon fils à l'école et que je ne le reverrais plus. Il n'en fallu pas plus pour me faire garder le silence. Il m'entraina jusqu'a une voiture ou un autre homme me banda les yeux et ma'attacha les mains et les poignets. J'avais peur, j'étais paniqué . Qu'est ce qu'ils voulaient? SI c'était de l'argent, je pouvais leur en donner et si ils me laissaient partir je n'en parlerais pas je ne dirais rien ... Mais tous le monde devait se dire la même chose dans une parel situation.

Le trajet me paru long, extrêmement long. Le silence était pesant et je ne pouvait pas empécher les larmes de couler tellement j'avais peur. Au bout d'un temps qui me paru une éternité je fus sortie de la voiture et conduite dans un endroit humide. J'étais dans le noir mais je sentais un plancher sous mes pied, du bois, une odeur de moisie, l'humidité. D'un coup, quelqu'un enleva le bandeau sur mes yeux et je me retrouva dans un endroit sombre. Mes yeux mirent quelques secondes à s'habituer à l'obscurité, j'avais la gorge nouée et ça ne s'arrangea pas en voyant l'homm qui faisait les 100 pas devant moi. Le costume orange me fit comprendre aussitôt d'ou il venait, la combiaison des détenus des prison des Etats - Unis. Mais quand il me parla de mon mari, je fus étonnée.

Qui êtes - vous ? Qu'est ce que vous voulez ?

Les phrases habituelles quand on était dans une telle situation. Mais ce qui me stressa le plus, ce fus qu'il parle d'Aaron. Est - ce qu'il l'avait enlever aussi ? Est ce qu'il était la ? je ne comprenait rien ...

Comment connaissez vous mon mari ?

par **Psychopathe...** Mer 23 Sep - 15:28

Lire la peur, l'envie de crier, sans pouvoir le faire. Se venger, voila à quoi aspirait cet homme. Venger son orgeuil plus qu'autre chose. Ils n'avaient pas été foutus d'arrêter le vrai Ripper, voila pourquoi, celui ci, avait fini par mourrir dans un trou, on ne savait où, dans l'anonymat. Ses meurtres et ses actes non punis. Tandis que lui, à la première occasion, on réussissait à l'arrêter. Mais il n'aurait pas eu à se venger si l'équipe du FBI avait fait son boulot dès le début. Voila ce qui motivait sa vengeance. Epargnant un insignifiant tueur qu'il était devenu pour déverser son flot de douleur et d'attrocité sur le compte des contre performances de l'état. Et quoi de mieux que sa femme pour arriver à ses fins? Il savait pertinemment qu'Hotch ne serait pas capable d'agir en tout état de conscience en étant si impliqué, il ferait forcément une erreur, qui pourrait lui être fatale. Et c'est précisément ce qu'il souhaitait.

Sa façon de joindre ses mains, de sembler réfléchir comme il le faisait, ne lui donnait rien qui donne envie de faire confiance. Un mec habillé de cette façon n'inspire de toute façon pas confiance.

Je dirais que nous entretenions des rapports... Professionnels.

Ah ben pour le coup ! Après tout s'il voulait qu'elle comprenne ses motivations, attiser un semblant de compréhension, il fallait bien lui expliquer la situation, à moins qu'il n'agisse comme le FBI la dernière fois, et la laisser dans le flou total... Mais il s'agissait d'une femme, jouons la de façon galante.

Je suis l'homme que votre mari n'a pas été foutu de défendre, de protéger, mais capable de l'enfermer quand il répare les erreurs de la protection nationnale. 37 coups de couteaux... 3 mois de coma...

Peu à peu, il sombrait dans une folie frénésique, animant ses gestes, ses tremblements, les pupilles nerveuses qu'il avait. Il ne se controlait plus vraiment. Toute son obsession était se venger.

par **Haley Hotchner** Mer 23 Sep - 16:11

La peur me tenaillait. Pas seulement pour moi, mais pour Aaron, pour mes fils. L'homme qui m'avait enlevé savait que j'avais un fils à l'école, il était renseigné et j'avais peur qu'il décide de s'en prendre à lui. Je le regardais faire les 100 pas. Il semblait serein du moin avant de commencer à parler d'Aaron. Il m'expliqua qu'ils avaient eu des relations professionnels, ce que je ne cru pas. Du moins, pas au sens ou on l'attendais d'ordianaire. Quand il m'expliqua ce qu'il en était , je ne compris ou il voulait en venir,il voulait atteindre Aaron et le meilleur moyen pour ça c'était moi. Je remercia le ciel qu'il n'est pas eu l'idée de s'en prendre a mes enfants. Je préférais être la qu'eux. En parlant de ce qu'Aaron avait fait, l'homme s'agitait, il semblait devenir de plus en plus nerveux ce qui n'était pas bon signe. Je ne savais pas ce que je devais faire, parler ou rester silencieuse et l'écoutait. Aaron faisait son boulot du mieu qu'il pouvait, il ne s'autorisait aucun écart, mais même le plus consciencieux des agents n'était pas à l'abri d'une erreur. Pourtant en voyant cet homme, je savais qu'il n'était pas innocent. Une personne normale n'aurait pas imaginer ce plan d'enlèvement pour assouvir sa vengeance.

Je ne sais pas ce qui c'est passé, mais ça ne vous aidera pas de me retenir ici ...

Essayait de le raisonner était la seule chose que je pouvais faire. Mais rien ne me disait que ça n'allait pas l'énerver encore plus. J'essayais de bouger mes mains mais les liens étaient vraiment serrés.

par **Aaron Hotchner** Mer 23 Sep - 16:45

16h30...

Aaron n'était pas du genre à se prendre la tête avec les faits et gestes d'Haley, c'était une femme libre, de ses journées, de ses pensées... Seulement, elle avait pour habitude de le joindre entre midi et deux, histoire de savoir s'il rentrait ce soir, vers quelle heure, s'ils devaient l'attendre pour diner, pour coucher Jack. Ne rater aucuns moments en famille. Une façon de concilier son boulot et la vie privée, bien que ce soit compliqué, ils y parvenaient. Un minimum.

Pas d'appels, ni à midi, ni à une heure, encore moins à deux. Haley déposait Jack à l'école vers 13 h 30, elle rentrait donc entre 14 et 14 h 30. Ce n'était pas dans ses habitudes de partir l'après midi sans prévenir. Non pas pour avoir un semblant d'appartenance à son mari, mais pour se rassurer tout simplement. Etre en accord avec sa conscience. Aaron ne l'empêcherait jamais de sortir, de faire sa vie. Il l'aimait trop. Seulement là c'était bizarre. Soit Haley reprenait cette histoire avec son amant, puisque ni le fixe, ni le portable ne répondait, soit il se passait quelque chose de plus inquiétant. Et son instinct lui livrait la seconde solution. Hotch sentait les choses. Comme quand le livreur lui avait apporté les papiers de son divorce ici. Il savait qu'il s'agissait de ça avant même d'avoir ouvert l'enveloppe.

Ne trouvant plus la force de se concentrer sur autre chose, il se rendit dans le bureau de JJ, son instinct avait même réussit à lui faire sortir le nez de ses dossiers !

Emily se trouvait avec l'agent de liaison, elles semblaient discuter. Il fut obligé de les interrompres et frappa légèrement à la porte, pourtant ouverte.

JJ, tu n'aurais pas reçu d'appel d'Haley par hasard?

Il semblait inquiet, pas dans son état normal, tourmenté.

par **Emily Prentiss** Mer 23 Sep - 17:01

Petite journée aujourd'hui. C'était rare qu'on se retrouve sans enquête a faire mais la c'était les dossiers qui nous attendaient. Le côté le moin drole du métier, remplir de la paperass n'avait jamais été ma passion et en débt d'après midi, j'apporta un des dossiers a JJ pour qu'elle le lise. J'aimais avoir son avis surtout quand elle avait été la durant l'interrogatoire que je reprtais sur papier. On en avait profiter pour papotr un peu, pas très professionnel tout ça, mais ça e nous arrivait que très rarement. Elle me parlait de son fils, de Will avec qui elle avait de plus en plus envi de passer au chose sérieuse. Un mariage dans l'équipe aurait un heureux évènement. On fut interrompu apr Hotch qui frappa à la porte. Je me sentis prise en faute comme une petite fille qui venait de faire une bêtise. Notre supérieur demanda a JJ si elle n'avait pas eu d'appel de sa femme. Réponse négative qui sembla inquiéter Hotch. Je regarda JJ interloquer. Que se passait - il pour qu'il s'inquiète comme ça ? Alors qu'il sortait de la pièce en remerciant JJ, je le suivis.

Monsieur ... est ce que tout va bien ?

Cette inquiétude n'était pas habituelle chez lui.

par **Aaron Hotchner** Mer 23 Sep - 18:16

JJ répondit de façon négative, ce qui n'était pas pour rassurer Hotch, bien au contraire. En général, Haley passait par la coordinatrice, comme pour leur divorce, histoire de ne pas le déranger sur son portable au cas où il serait en intervention. Qu'il doive se planquer ou quoi que ce soit. Au moins, elle ne prenait pas de risque en appelant directement à la BAU.

Peut être était il tout simplement en train de se monter la tête, remarque, ce n'était pas son genre de faire ça pour rien. Il y avait toujours une raison, a tout ce qu'il faisait, ce qui le rendait un peu sombre parfois surement, ne rien faire pour dire je le fais, rien n'était laissé au hasard, comme un besoin de controler pour ne pas se perdre.

Il sorti alors du bureau en la remerciant, loin de lui l'envie de devoir s'expliquer. Alors il fuyait, en quelques sortes. Mais Prentiss ne tarda pas à le suivre, alors il du répondre à sa question, entrant dans son bureau.

Tout va bien. Haley n'a simplement pas laissé d'appel depuis ce matin. Ce n'est pas dans ses habitudes, il y a quelque chose que je ne sens pas.

Il tentait de se dire qu'il s'en faisait pour rien, mais c'était pire, et sa façon de tourner et retourner les dossier sur son bureau le prouvait. Le profiler profilé?

par **Emily Prentiss** Mer 23 Sep - 20:12

Il s'inquiétait donc pour sa
femme et je commençais à le connaitre assez pour savoir
qu'il ne sestressait jamais pour rien. Mon patron était du
genre a tout controler, a ne rien laisser paraitre mais ici, on
voyait bien son stress, son angoisse. Je n'aimais pas ça
d'autant que ses pressitement étaient souvent exact, il avait
le nez pour ça. Pas la peine qu'il reste la à s
torturer en attendant un hypothétique appel. Je le suivis dans
son bureau, aps question de le laisser se ronger les sang tout seul
.

Vous devriez rentrer chez vous. Allez voir si elle y
est. Vous ne ferez rien de plus ici.

Après tout
on pouvait se passer de lui pendant un journée non ... même
pas, un après midi !

par **Aaron Hotchner** Mer 23 Sep - 20:20

Le sentiment d'insécurité était palpable. D'autant plus que quand il commençait à s'agiter, ça ne présageait rien de bon. Il retira sa veste de costume, grand damn !

Farfouillant dans ses dossiers, il ne savait surement réellement pas ce qu'il cherchait.

Non, elle ne répond pas au téléphone. J'ai essayé plusieurs fois, c'est bizarre, ça ne lui ressemble pas.

L'énervement, l'incontrole, se lisait dans ses geste, tournant et retournant ces foutus dossiers dans le but de trouver le bon, mais quel bon aufait?

Et qu'est ce que j'ai fais de ce foutu dossier?

Il cherchait, sans vraiment savoir quoi. En réalité il cherchait à s'occuper l'esprit. Il pensait pouvoir le faire au moins une minute en trouvant les comptes rendu d'Ellen sur les firmes italiennes et faxer le bon document à l'avocat qui l'aiderait.

par **Emily Prentiss** Mer 23 Sep - 23:40

Hotch n'était pas dans son état normal, pas besoin d'être profiler pour s'en rendre compte. Le voir fouiller dans ses dossiers aussi frénétiquement me rendait nerveuse. Son stress était contagieu et je ne savais pas vraiment quoi faire pour le calmer. J'essaya quand même de lui faire entendre raison:

Si quelque chose lui était arrivé vous auriez été prévenu.

Je ne savais pas vraiment si allait la rassurer. Je détestais être aussi impuissante. Hotch continuait à chercher un dossier, ralant parce qu'il ne le trouvait pas. Je m'approcha de son bureau et le regarda:

Hotch sa va aller ... Appelez l'école de votre fils, ils l'ont peut être vu...

par **Aaron Hotchner** Mer 23 Sep - 23:52

Il savait au fond l'influence qu'il avait sur ses collègue, de quoi les rendre aussi nerveux que lui, les mettres mal à l'aise, mais honnetement là, il n'en n'avait pas conscience. Ne parvenant pas à mettre la main sur un des dossiers pourtant au dessus de la pile, il laissa tomber, et écouta les conseils de Prentiss.

L'école de Jack? Oui, c'est pas bête.

Il composa alors le numéro de l'école, et patienta quelques instants, il passa quelques secondes au téléphone, il n'en fallut pas plus pour qu'il se décompose. Personne ne l'avait vu. Flipant. Il raccrocha. Se remettant à chercher, surtout chercher une idée, une main sur son front. Perdu.

Tout d'un coup, Garcia reçu un appel, un appel de la prison de Pensylvanie. Le Ripper s'était évadé, voila maintenant quelques semaines, et ils attendaient ce moment là pour prévenir. Suite à une série d'enlèvements, suspects. Qui pourtant n'avaient rien à voir avec lui.

par **Emily Prentiss** Jeu 24 Sep - 0:06

Hotch fini par suivre mon conseil et appela l'école de Jack. Rien, personne n'avait vu sa femme, ce qui n'était pas vraiment rassurant il fallait l'avouer, mais ce qui m'inquiéta c'est le coup de téléphone que reçut on patron. Je vis son visage se décomposer, comme si le ciel lui tombait sur la tête. Que se passait - il ?Une fois qu'il eu raccrocher j'attendis qu'il m'explique mais je du lui poer la question pour le faire sortir de ses pensées:

Qu'est ce qui se passe ?

par **Aaron Hotchner** Jeu 24 Sep - 0:13

Tout se bousculait réellement dans la tête de Hotch à ce moment précis. Qu'est ce qui se passait? Mais s'il le savait ! Malheureusement...

Il du sortir de ses pensées pour répondre à Emily.

Le Ripper s'est échappé de prison. Il y a 6 semaines... 6 semaines et ces abrutis préviennent seulement maintenant !

Il sorti de son bureau en frappant du poing contre l'encadrement de la porte. Il retrouva Garcia dans l'open space, totalement paniquée, Reid, Morgan et le reste de l'équipe était là lui aussi.

Vite... Vite une solution !

Le bracelet électronique. Garcia localise moi le par son bracelet électronique !

Une main portée à son front, dans le but de réfléchir encore plus vite, mais difficile avec autant de stress, et autant d'implication.

par **Emily Prentiss** Jeu 24 Sep - 1:02

Tout ce bousculait d'un coup dans ma tête. Le ripper, l'homme qu'Hotch avait fait enfermé il y a quelques années, c'étaient évader il y a six mois. Exactement au point de départ d'une série d'enlèvement. Un enlèvement, je compris aussitôt ce que mon boss avait en tête. C'était fou, le ripper n'oserait pas s'en prendre à la femme de Hotch. Pourquoi pas, c'était un psychopath. Je ne pu rien dire et l'entendre frapper du point contre la porte m fit sortir de mes pensées. Jamais il ne perdait son sang froid comme ça , c'était impressionnant. Je le suivis dans la salle ou on retrouva toute l'équipe. J'entendis garcia cherchait sur ses ordinateurs, mais elle ne semblait trouver aucune trace du ripper. Ma nervosité venait de monter d'un cran, ne même temps que celle de toute l'équipe...

par **Aaron Hotchner** Jeu 24 Sep - 10:42

La situation était tendue, véritablement tendue... Le bracelet électronique, évidemment, oublié en 6 semaines, il avait du trouver un moyen de s'en débarasser, ce serait trop simple. Mais cette façon de ressentir les choses lui indiquaient clairement qu'Haley n'était pas en train de profiter d'un café à une terrasse, ou bien encore de faire les magasins, il le savait. Et ce lien inexplicable qu'il avait avec sa femme était indescriptible. Il le sentait, voila tout.

Il n'attendait qu'une chose, tout en faisant les 100 pas dans l'open space, que le téléphone sonne ! Et que ce soit le Ripper qui le contact au bout du fil. Effectivement, ça n'y coupa pas. Au bout de 20 minutes qui lui parrurent 20 ans, le téléphone sonna. Hotch laissa sonner deux coups avant de répondre, tentant tant bien que mal de garder les bases du profilage, et les cartes en main.

Aaron Hotchner, j'écoute.

- Tient, agent Hotchner, toujours aussi efficasse à ce que je vois. J'ai quelque chose qui pourrait vous intéresser...

Dites moi...

Ne pas laisser paraitre qu'il savait que sa femme était avec lui, au cas où il se serait trompé sur toute la ligne. On ne sait jamais, ne pas prendre de risque, surtout avec Haley.

- Votre femme... Charmante au passage, elle est à mes cotés. Mais plus pour longtemps si vous persistez dans votre entêtement...

Qu'est ce que vous lui avait fait?! Je vous préviens, si vous touchez à un de ses cheveux... Ce n'est pas le GIGN qui viendra vous chercher, mais moi, ne comptez pas vous en sortir vivant.

- Ce sont des menaces?

Un avertissement. Je veux l'entendre. Donnez moi la garantie qu'elle est encore en vie.

Il savait pertinemment qu'Haley servirait de monnaie d'échange, ce n'était pas elle qu'il voulait, mais lui, et il s'en voulait comme jamais il ne s'en était voulu de l'avoir embarquée là dedans, malgré lui, mais malgré elle aussi. Haley pouvait tout entendre, le psychopathe tournait et retournait dans le petit cabanon, haut parleur en place.

par **Haley Hotchner** Jeu 24 Sep - 18:23

L'homme face à moi ne cessait de marcher de long en large, faisant quelques pauses pour me regarder. Voir ma peur semblait l'amuser au plus haut point. Je ne parlais pas, tremblais presque pourtant je savais que je ne devais pas craquer. Je devais rester forte et essayer de ne pas montrer ma panique, même si c'était dur. Après un long silence, il m'annonça qu'il était temps d'appeler mon mari. Bizarrement ce fus un soulagement. Au moin Aaron était en sécurité pour le moment et je savais qu'il viendrait me chercher.

Il décrocha donc son téléphone et appela. Le haut parleurs résonna et j'entendis la voix de mon mari. Je ne pu m'empêcher de laisser quelques larmes couler. Aaron était en colère, angoissé je le sentais à sa voix et contrairement à ce que j'aurais penser, les menaces implicites qu'il envoya a mon agresseur, le firent sourire. Il accéda à la demande d'Aaron en approchant le téléphone de moi.

Aaron ... Je vais bien ...

J'avais envi de lui dire de venir me chercher, que j'étais morte de peur mais je ne dit rien, je me contenta de regarder l'homme face à moi pour savoir si ce que je disais ne l'énervait pas.

par **Aaron Hotchner** Jeu 24 Sep - 19:18

Il avait voulu sa preuve, et il l'avait eu. Haley avait pu le rassurer, elle allait bien, pure convention bien sur. Mais il pouvait déceller en sa voix qu'il ne l'avait pas encore touchée. Heureusement pour lui, sinon Aaron aurait été capable de descendre lui même et fouiller l'univers de fond en comble pour se venger. Emily avait saisi le truc, et demandé à Garcia de localiser l'appel, Hotch aurait pu y penser lui même, mais il n'était plus lui ! Il était complètement perdu entre son amour pour sa femme et son désir de vengeance aussi fort. Il ne pouvait pas laisser Haley seule là bas, et il faisait tourner la conversation, histoire de laisser passer le temps et que Garcia puisse faire quelque chose. Alors il serra le combiné contre son oreille, de façon à avoir un peu plus d'intimité, du moins en apparences.

Je ne te laisserais pas Haley tu m'entends? On va arrêter ce malade. Je te le promet. Je t'aime...

Comme une promesse solennelle, qui scellerait leur couple pour de bon cette fois. Il se rendait compte de pouvoir tout perdre, surtout d'à quel point il tenait à sa femme. Vivre sans elle lui était impossible, il le savait. Il s'en rendait simplement compte aujourd'hui.

Le criminel retira le téléphone de l'oreille de la jeune femme.

- Assez bavardé, maintenant on va parler affaire. Je veux la certitude que je ne retrouverais pas les barreaux de la prison. Je veux votre acquitement de procureur, votre parole d'homme.

C'est ridicule, je ne suis même pas en charge de cette affaire, cet accord ne vaudra rien.

Il perdait son sang froid, ne se controlait plus, se frottait le front sans arrêts.

par **Haley Hotchner** Jeu 24 Sep - 21:22

J'avais envi de lui dire de ne pas s'inquiéter, de ne pas faire n'importe quoi, mais je n'y arrivais pas. Je regarda autour de moi mais je n'avais aucun indice à lui donner, sur l'endroit ou je me trouvais. Je n'avais pas vu la route. Je me sentais inutile. Comment allait - il pouvoir me retrouver sans indice? Il était fort mais il n'était pas non plus un super héro! Il me promit de ne pas me laisser. J'avais tellement envi d'être dans ses bras.

Je sais .. j'ai confiance Aaron .. je ...

Je n'eu pas le temps de lui dire que je l'aimais que le ripper m'enleva le téléphone pour reprendre sa conversation avec mon mari. Ce qu'il lui dit me fit froid dans le dos. Aaron ne devait pas accepter de laisser cet homme ne liberté sinon il continuerait a tuer.

Ne l'écoute pas ...

J'avais crié espérant qu'il m'entende à l'autre bout du fil. Je remuais despérément essayant de détacher mes liens ...

par **Aaron Hotchner** Jeu 24 Sep - 21:35

Non Aaron ne laisserait pas tomber, il ne l'écouterait surement pas non plus, mais s'il voyait que c'était la seule solution pour voir Haley en vie, il le ferait. Il était maintenant partagé entre son intégrité et sa femme. Et encore une fois, il n'avait pas le choix. Sa femme était plus que ça, c'était aussi la mère de ses enfants. Sa meilleure amie, sa confidente, celle qu'il désirait protéger de tout, tout le temps. Il l'aimait, plus que tout au monde. Et le fait que le Ripper lui retire aussi violemment le téléphone, sentir et entendre ses larmes au bout du téléphone ne le fit que tressaillir et hair encore plus.

- Vous avez jusqu'à demain 11 heures pour me rendre votre aveux signé, je veux que vous stipuliez vous être tompé, je veux voir clairement apparaitre l'erreur judiciaire sur le papier. C'est bien compris?

Il ne vaudra rien. A peine serez vous sorti que vous aurez la CIA et le FBI sur le dos, toute la police Etats Unienne. Nous n'irez nul part. Rendez vous, c'est la seule chose à faire. Laissez la partir. Si vous lui faite le moindre mal ce n'est pas en prison que vous finirez votre vie, mais je vous jure de vous faire payer de mes propres mains.

Ca c'était des menaces, et un Hotch qui ne se controlait plus. Plus du tout, ses collègues ne l'avaient sans doute jamais vu comme ça, agir et parler les dents serrées. Sur le point d'exploser. Un signe de Garcia, comme quoi elle avait localisé l'appel. Aaron s'en rendit compte et balança la dernière phrase avant de raccrocher brutalement.

Vous ne vous en tirerez pas.

par **Haley Hotchner** Jeu 24 Sep - 21:45

L'homme avait coupé le haut parleur et je ne pu entendre ce que disait Aaron. j'essayais toujours de me détacher même si ça ne servait sans doute à rien, les liens étaient trop serrer. J'essayais de me controler, de controler ma peur tant bien que mal et pour le moment c'était surtout de la colère que je resentais, la colère de ne pouvoir rien faire, la colère de mettre mon mari dans l'obligation de choisir entre moi et laisser un criminel en liberté; Si j'avais été plus vigilente tout ça ne serait pas arrivé! Lorsque la conversation s'arrêta, le ripper, jeta le téléphone de toutes ses forces contre le mur, pestant sans que je comprenne vraiment ce qu'il disait. Il n'avait sans doute pas obtenu ce qu'il voulait et ça ne présageait rien de bon.

par **Aaron Hotchner** Jeu 24 Sep - 21:52

Il venait de trouver le moyen de la sauver et il n'hésiterait pas. Comme quoi son instinct ne trompait pas, il avait effectivement senti le problème avec sa femme. Comme quoi ils étaient surement fait pour être ensemble. L'amour ne s'explique pas, mais il y avait un peu plus que ça cette fois. Dieu merci, Garcia avait été hyper réactive. Hotch aussi, à partir du moment où ils purent localiser l'appel. Il se pencha sur le bureau de sa collègue, histoire de voir l'écran.

Le parc de Broke Héliande.

Il se releva rapidement après s'être appuyé sur le dossier du fauteuil de l'analyste, et retrouva l'open space. Son air directif et ordres non discutable comme à son habitude. Il fallait être réactifs et rapide. Le connaissant, d'après son profil, il serait capable de péter les plombs et de faire du mal à Haley.

Il me faut une équipe ! Prentiss, Morgan, avec moi. Equipez vous, les autres vous me cernez un périmètre de sécurité tout autour du parc.

Ils eurent moins de 10 minutes pour se préparer, enfiler le gilet par balle, et s'armer, retrouver le SUV sur le parking et filer. Hotch conduisait, pas d'une manière des plus prudentes, il fallait l'avouer, mais sa femme était en jeu, et il était rare qu'il fasse passer ses intérets personnels avant son intégrité et celle de son boulot, ce n'était même jamais arrivé.

par **Haley Hotchner** Jeu 24 Sep - 22:02

Le silence s'était installé dans la pièce humide. J'étais épuisée et j'appuya machinalement ma tête contre le mur derrière moi. Qu' est ce que je pouvais faire d'autre avec les pieds et les mains attachés. Ce silence me mettait mal à l'aise, le voir marcher devant moi, sortir et rentrer de la pièce me mettait mal à l'aise... Qu'est ce qu'il prépaparait ? Etre dans l'ignorance était pire que savoir le sors qui vous était réservé. Je commençais à être gelée et mes poignets et mes chevilles me faisaient mal. Je tenta une approche d'une petite voix:

Est ce que vous pourriez desserer mes liens ... je ne risque pas de m'enfuir avec vos gorilles derrière la porte ?

j'en avais vu deux quand il avait ouvert la porte, sans doute les deux qui m'avait enlevé devant chez le photgraphe. Je ne pourrais pas sortir même si je le voulais ...

par **Aaron Hotchner** Jeu 24 Sep - 22:14

Le Ripper était mal à l'aise, le résultat du coup de téléphone de tout à l'heure sans doutes, Aaron lui avait raccroché au nez, le sourire victorieux et le ton impérial. De quoi le laisser sur sa faim. Jouer avec les nerfs de celui qui jouait avec les siens depuis prêt de 2 heures était une maigre vengeance, mais toujours bon à prendre. Il faisait les 100 pas dans les 25 m² qu'offraient l'abri de jardin au fond du parc. Effectivement son caractère aurait pu lui faire faire une bétise vis à vis d'Haley. Les poings serrés l'un contre l'autre, il ne cessait de ressasser cette conversation téléphonique.

- Tenez vous tranquille !

Bon, ça c'était pour le nom, catégorique. Il ne pouvait pas en plus prendre le risque de voir sa monnaie d'échange prendre la fuite. Bien que ses deux sbires se retrouvent dehors, il n'était pas tellement rassuré quand au fait de se retrouver entouré de la SWAT, du FBI ou de la CIA. Il savait qu'il ne plaisantait pas. Aaron Hotchner ne fait pas les choses à moitié.

Et en effet, il ne les faisait pas à moitié, il était dans le SUV avec Prentiss et Morgan, tous les trois équipés. Il leur fallu moins de 20 minutes pour rejoindre le parc alors qu'il fallait en compter 35 en temps normal. Jack aimait se promener ici après l'école et souvent Haley cédait. Et prévoyait le gouter là bas. Le mercredi ils se retrouvait là avec ses amis l'après midi. A quelques km de chez eux, voila pourquoi il frappait à un endroit stratégique, ne pas trop l'éloigner afin de pouvoir la garder. Et passer au plus vite à la suite de son plan. La frénésie l'empêchait d'attendre, une fois embarqué, c'en était fini.

S'arrêtant à l'entrée du parc, ils notèrent que la SWAT était déjà en position, et attendaient les ordres du chef de leur équipe pour intervenir. En un regard ils se comprirent, et Aaron fonça tout droit pour défoncer la porte.

FBI !

Un bruit de fracas, des débrits de bois partout sur le sol, Morgan et Prentiss s'atellant à s'occuper des gardes du corps et du Ripper, Hotch se précipita vers sa femme, rangea son arme et passa ses mains autour de son visage.

Haley ! Ca va? Il ne t'a pas fait de mal? Dis moi chéri?

Il paniquait, on pouvait le lire clairement dans son regard vert.

par **Haley Hotchner** Jeu 24 Sep - 22:24

Tant pis, j'allais rester avec mes liens serrer. je n'insista pas histoire de ne pas l'énerver plus qu'il l'était déjà. Je l'observais marcher, secouer la tête parfois sans doute en repensant à la conversation qu'il avait eu avec mon mari. Il serrait les poings menaçant, j'aurais voulu savoir ce qu'Aaron lui avait dit pour le mettre dans cet état. Je n'osa pas le lui demander, je n'osais plus rien dire. Laisser passer la tempête plutôt que la faire exploser. Le temps me paraissait long, interminable, j'avais l'impression d'être retenue ici depuis des jours alor que ça ne devait faire que quelques heures. Puis il y eu un bruit sourd, la porte s'ouvrit et je vis les agents entrer. Le soulagement que je ressentis était indescriptible. Aaron s'approcha de moi me demanda si le ripper ne m'avait pas fait de mal...

Je vais bien ... je vais bien .. Il ne m'a rien fait ..

Je fondis en larme, le soulagement de le voir la, de voir les agents Morgan et Prentiss mettrent hors d'état de nuire cet homme si dangereux..

par **Aaron Hotchner** Jeu 24 Sep - 22:32

Le soulagement de retrouver sa femme étant sans pareil lui aussi. Son visage était intact, il le tournait retournait de toute façon dans tous les sens pour l'examiner. Comme elle le faisait quand il rentrait d'une intervention pour le moins dangeureuse. Puis, une fois rassuré et quand elle fondit en larme, il la serra contre lui. Plongeant sa tête dans son cou. Puis la relevant pour poser ses lèvres sur son front. Il était là et il ne la laisserais plus, ni sans protections, ni pendant des jours sans lui donner de nouvelles pour le boulot. Il aimait sa femme, et ce, plus que tout au monde. Ses enfants aussi.

Je suis là... C'est fini chérie, c'est fini...

Maintenant, le plus dur était passé, mais restait les formalités d'usage qui se trouvaient loin d'être agréables. Il fallait aller à l'hôpital. Faire les examens nécessaires si on voulait enregistrer la plainte, et s'assurer qu'il n'y avait rien de grave. Un traumatisme, des blessures. D'ailleurs son premier réflexe, après l'avoir serré contre lui fut de détacher sa belle. Les liens lui avaient entaillés la peau, et le fait de voir le sang sur la chair meurtrie de sa femme lui donnait des envies de meurtres, il prenait sur lui pour ne pas aller trop loin et faire quelque chose qu'il risquerait de regretter par la suite. Mais quand il vit le bleu sur la joue, du au fait que les gardes du corps aient jetés Haley dans la voiture, il ne pu se retenir, et fonça directement sur le Ripper pour le plaquer au mur et l'arracher à Morgan et Prentiss qui tentaient pourtant de le controler. Serrant son avant bras contre la gorge du criminel il sorti de ses gonds.

Comment t'as pu faire ça espèce d'enfoiré ! Je t'avais prévenu si tu touchais à un seul de ses cheveux...

Il fallait songer à l'arrêter, avant qu'effectivement il ne fasse une connerie qu'il pourrait regretter.

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